Nos prestations

que cherchez-vous ? Que trouverez-vous ?

Quatre thèmes

Les visiteurs du site de BG17 Consulting trouveront des “pépites de savoir à partager” sur une multitude de sujets classés dans quatre grands thèmes (qui sont développés ci-dessous)

  • FORMER DES FORMATEURS
  • COMPRENDRE L’ENTREPRISE
  • ORGANISATION ET GLOBALISATION
  • PENSER « HORS DU CADRE « 

Qui sont nos visiteurs

Les pépites de savoir à partager sont généralement tout public et s’adressent aussi bien :

  • à l’étudiant qui veut élargir son champ de vision au-delà de sa discipline,
  • à l’employé désireux de se construire un programme de formation afin de mieux comprendre l’univers professionnel et ses acteurs et de développer son employabilité, 
  • au dirigeant, au RH ou au directeur de formation qui se demande quelles compétences développer pour améliorer l’excellence de son organisation
  • au dirigeant qui souhaite intégrer les facteurs clefs de succès, multifactoriels, dans les prises de décision de ses collaborateurs,
  • à toutes celles et ceux qui souhaitent contribuer à l’enrichissement et à la transmission des connaissances

Format

Les pépites de savoir sont de multiples formats : à voir, à écouter, à lire…et vont de la petite vidéo de quelques minutes au cours en présentiel de plusieurs jours.

  • Documents
    • Lecture (article, essais, livres blancs…)
    • Vidéos
      • Flash : comprendre les enjeux ( < 6 minutes)
      • Initiation : identifier les connaissances en jeu ( entre 6 et 15 minutes)
      • Advanced : approfondissement des connaissances (> 15  minutes)
    • liens externes : nos recommandations/partenaires pour aller plus loin sur un sujet
    • Kakémonos : diagramme synthétique  des points clefs et de leurs articulations

  • Évènements
    • interviews
    • cours distanciel (gratuits ou payants)
    • cours Présentiel (payants sauf dérogation)
    • webinaires
    • ateliers collaboratifs

DES PÉPITES DE SAVOIR À PARTAGER

FORMER DES FORMATEURS

La transmission du savoir est un procédé complexe qui réunit :

  • Un objectif : à qui et pourquoi on transmet certains savoirs 
  • Des acteurs : celui qui identifie les savoirs à transmettre, celui qui les formalise, celui qui le transmet, celui qui le reçoit…
  • Des connaissances : elles vont du “tour de main” aux théories les plus abstraites. 
  • Le contexte : qui décide de ce qu’il faut transmettre, à qui, dans quelles conditions
  • Les talents de ceux qui décident, qui conçoivent, qui transmettent, qui reçoivent…

L’analyse de ces points est nécessaire pour atteindre les objectifs d’une formation. Ils sont traités de façon approfondie dans deux cours en présentiel : la formation d’animateur et la formation de concepteurs

Mais diverses “pépites de savoir à partager” suffisent à en comprendre les grandes lignes. Les cours en présentiel ne sont nécessaires que pour développer les compétences d’animateur par la pratique ou “entraîner” les concepteurs sur des cas concrets (éventuellement personnalisés).

Un bref aperçu sur le savoir.  

Qu’il s’agisse de la transmission intergénérationnelle familiale, de secrets d’atelier ou de l’enseignement à l’école ou à l’université, la transmission de savoirs utilise des techniques, innées pour certains, acquises pour d’autres. 

Savoir et savoir-faire : c’est bien sûr la partie la plus “technique” et aussi la plus simple. Elle peut néanmoins se heurter à trois obstacles majeurs : 

  • la difficulté à formuler ce qui est fait d’instinct ( typiquement, les “évidences”,  le “tour de main”…) ce qui est fréquemment le cas des métiers manuels ou à forte composante relationnelle.
  • le cadrage  insuffisant du sujet et de son périmètre (trop, trop peu, à côté…)
  • la rétention du savoir ( par son détenteur ou par son transmetteur) 

      Savoir-être

      C’est la partie la plus délicate ;

      On dit que le métier le plus difficile est celui de parent : il n’existe pas d’école des parents et la variabilité du contexte ( situations, interactions, personnalités…) en rend toute tentative d’approche théorique encore plus périlleuse et controversée…

      Mais nous n’ étudierons pas ce sujet que nous confierons néanmoins prudemment au thème “Penser hors du cadre…”  

      Dans la vie sociale ( entreprises, associations, société…) la question pourrait paraître – et est – dans une certaine mesure plus simple. En effet un “cadre” est fourni à la relation ( culture, loi et règlements, éléments contractuels…), qui en limite souvent la durée et en précise les objectifs et les frontières.

      Il n’en demeure pas moins que certaines tensions peuvent exister liées à des personnalités ou à des intérêts différents ( voisinage, copropriété, indivision, échelons politiques ou administratifs…)

      Diriger ou collaborer en contexte international n’est pas simple non plus… A la complexité des interrelations dans un contexte “normal” s’ajoutent les incompréhensions résultant de “représentations du monde” différentes.

      Ces particularités seront plutôt développées dans le thème « Organisation et Globalisation ».

      Retour en haut

      COMPRENDRE L’ENTREPRISE

      “Seul on avance plus vite, mais ensemble on va plus loin” nous enseigne un proverbe africain. La science de l’organisation repose sur deux principes : La spécialisation des tâches et la coopération. Cela requiert de prendre conscience de l’interdépendance entre les acteurs et de la nécessité pour eux de coopérer. 

      La prise de conscience nécessite un narratif partagé par les acteurs,  la coopération, elle, requiert des compétences spécifiques pour organiser la collaboration dans le cadre issu de la spécialisation.  

      Dans ce chapitre, il faut comprendre le terme d’entreprise dans son sens large, le statut de cette dernière pouvant être extrêmement divers: à but commercial (par action, familiale…), associatif ( à but lucratif ou non, syndical, corporatif….), organisme ( gouvernemental ou non gouvernemental), etc.

      La survie d’une entreprise n’est possible que grâce à des cadres politiques, juridiques et commerciaux, garantissant une certaine stabilité à tous les acteurs, et grâce à une compétence,  un art, permettant de gérer une complexité croissante de flux de matières, de produits et d’information.

      Pour saisir à la fois les constantes et les évolutions de l’entreprise, je propose d’en aborder  la compréhension à travers 3 prismes :

      • Les outils fondamentaux de l’organisation, leur apparition et leur déploiement
      • La représentation financière de la réalité économique et ses implications
      • Les grandes “fonctions” d’une organisation

      L’ organisation

      Quel que soit leur statut juridique, les entreprises ont ceci en commun : ceux qui en tirent profit chercheront l’organisation la plus efficace pour en assurer la survie (et celle de leur profit) dans un cadre légal et culturel donné.

      Parmi les entreprises, deux en particulier sont intéressantes : les entreprises commerciales sur un marché concurrentiel et les associations.

      Les premières doivent trouver l’organisation optimale pour assurer leur efficacité et leur pérennité dans une échelle de temps donnée ( à long terme pour les sociétés familiales et parfois à court terme pour les sociétés cotées). Les acteurs (employés, fournisseurs, clients, dirigeants, actionnaires) sont liés par un contrat. 

      Les secondes doivent mobiliser des ressources bénévoles  (dons, membres…) pour atteindre un objectif. Ce qui suppose une existence limitée à la durée de la cause défendue… ou à l’engagement volontaire de ses membres. Le contrat est remplacé par un narratif mobilisateur et le charisme de ses animateurs.

      Malgré la distinction entre ces deux formes extrêmes, il n’en demeure pas moins qu’une association mal gérée ou qu’ une entreprise dirigée sans charisme par ses dirigeants et sans l’engagement de ses salariés ont, sur un marché vraiment concurrentiel,  une chance de survie réduite…

      L’exemplarité et la qualité de la communication sont en revanche des atouts majeurs.

      Nous traiterons l’histoire et l’évolution de l’organisation des entreprises à travers les grandes méthodes enseignées ( process based management, reengineering, gestion de projet, amélioration continue…) et des “modèles” proposés ( tout en soulignant que si on peut “copier” des méthode, il est plus dur d’insuffler une culture…).

       

      Mais deux facteurs viennent perturber les grands et rigoureux  principes de l’organisation

      • La dimension culturelle  interfère dans le bel édifice et bouscule  les dogmes et la rationalité propres des lois de l’organisation (approche interculturelle).
      • Les actions d’un individu, d’un service, d’une entreprise, d’une collectivité se décident souvent à partir de modèles restreints fonctionnant à paramètres constants et sans tenir compte de la volonté et des actions des autres parties prenantes (approche systémique).

      L’étude de ces deux paramètres est développée dans le thème « Organisation et Globalisation ».

      Les humains ne sont pas passés du stade de l’autosubsistance à l’état de société mondialisée d’un coup. C’est un long chemin au cours duquel l’effet volume de la population et l’évolution des technologies ont accompagné un parcours chaotique, jalonné de guerres, de révolutions et de crises. 

      Gérer une complexité croissante de flux de matières, de produits et d’information ne veut pas dire que les fondamentaux évoluent…même si les technologies permettent de maîtriser des volumes, des vitesses ou des distances toujours plus importants et changent certains arbitrages ( notamment dans le rapport homme/machine).

      Pour en donner une illustration un peu décalée, quand j’ai commencé à travailler en 1981, la rubrique comptable couvrant l’ensemble des dépenses destinées à faire vendre s’intitulait “propagande”. Ceci avait l’intérêt de la transparence concernant une activité qui remonte à la nuit des temps. Le  développement des sciences cognitives et des expérimentations de masse ont permis de repeindre la devanture et d’en faire une nouvelle discipline, le “marketing”, qui diffère de la propagande par la sophistication des outils d’analyse et de communication et par une meilleure articulation avec l’ensemble des opérations et de la stratégie de l’entreprise. 

      Conjuguée au volume et à la manipulation des masses, elle a donné naissance à l’ingénierie sociale dont la fabrique du consentement est une des illustrations. Mais ici encore, quoi de neuf par rapport à la servitude volontaire de La Boétie, au Prince de Machiavel ou à La Psychologie des foules de Gustave Lebon. “ Rien de nouveau sous le soleil” constate déjà amèrement l’auteur de l’Ecclésiaste…

      Chacune des disciplines liées à l’organisation des entreprises fera l’objet d’une approche  distinguant les fondamentaux et les évolutions techniques.

      L’approche financière

      Sous ce vocable je classe quatre disciplines différentes mais complémentaires

      • La comptabilité
      • Le contrôle de gestion
      • L’analyse financière ( Bilan et Compte de Résultat)
      • L’économie-politique. 

      Paradoxalement, le domaine le plus accessible est la lecture des documents financiers. Savoir déchiffrer un compte de résultat ou un bilan est plus facile qu’il n’y paraît. Ils nous permettent de comprendre le “profil” d’une entreprise, presque sa “personnalité”. Voir leur évolution au fil des ans nous raconte l’histoire de cette entreprise mieux que n’importe quel “narratif” des journalistes financiers.  C’est donc par là que j’ai pris l’habitude d’initier mes élèves à la Finance. Un dialogue qu’il faut apprendre à découvrir principalement entre les actionnaires, l’État , le management de l’entreprise et son personnel. 

      Pour ceux qui voudraient comprendre comment sont établis les documents financiers, il faut alors entrer dans les techniques comptables. Un domaine rébarbatif pour ceux qui ont la malchance de l’aborder avec des comptables… Mais un domaine rationnel, structuré facilement compréhensible. 

      La lecture des documents financiers et la comptabilité suivent des règles logiques qu’il suffit de comprendre puis d’appliquer.Mais elles ne permettent pas de comprendre la “dynamique” d’une entreprise. Pour cela, il nous faut entrer dans la partie analytique de l’activité d’une entreprise, la face cachée, presque “artistique” de la finance : le contrôle de gestion. Les noces alchimiques des nombres et de la réalité ; le monde des ratios, des unités d’œuvre, des gammes, des nomenclatures, des standards, des variations… L’écriture de la partition pour le chef d’orchestre et pour les musiciens ; la mesure de la qualité de leur exécution et/ou de la partition…

      Mais pour qui a travaillé sur les marchés volatils des matières premières ou des devises, la valeur actuelle ou future des biens, je sais qu’il est des réalités qui échappent à la comptabilité, au contrôle de gestion ou à la finance… l’incertitude issue des décisions des agents économiques individuels, faisant eux-mêmes partie d’effets systémiques complexes et parfois imprévisibles…

      La monnaie est un outil à la fois merveilleux et redoutable… Il a envahi notre vie, tout d’abord en remplacement du troc, comme un formidable facilitateur des échanges ; il permet de dissocier le lieu, le temps, la nature, le volume des échanges entre une multitude d’acteurs. Une révolution qui permet même de s’affranchir du temps qui passe en épargnant, de capitaliser… 

      Mais ce formidable accélérateur de richesse collective peut subitement broyer des décennies de richesse en un instant sous l‘effet combiné de la spécialisation des tâches, d’une “rupture d’équilibre” et de l’effroyable “effet polarisateur” de l’argent. 

      S’il s’agit là des deux visages extrêmes de l’argent, qu’il est utile de les comprendre pour surfer avec aisance sur les concepts de finance, de comptabilité ou de contrôle de gestion.

      Une petite nouvelle “L’Énigme de la clairière” permettra de découvrir les arcanes de l’économie-politique. Un savoir nécessaire car la “science économique” est un fantasme qui n’existe pas…

      Les Fonctions dans l’entreprise

      Le modèle économique initial de l’entreprise, principalement  artisanat ou agriculture, faisait de l’artisan un homme orchestre, devant tout faire, acheter ses outils, son cheptel ou ses matières premières, juger de leur qualité, en négocier le prix, produire sa marchandise, trouver des clients, ne pas vendre à perte (concept de prix de revient), gérer sa trésorerie, épargner sa semence pour l’année suivante ou de l’argent pour de futurs investissements, s’organiser pour mettre son or à l’abri. Ses problèmes dépassaient rarement le niveau familial, de la ferme ou de l’atelier ; seuls quelques domaines connaissaient un périmètre plus grand : le militaire et le commercial, plus ou moins éphémères.  

      L’apparition des fonctions dans l’entreprise résulte de la croissance du volume, de la pérennisation du contexte politique et de la spécialisation des tâches.

      C’est à la fois l’origine de la force et de la faiblesse des grandes entreprises.

      Nous verrons les principes de chaque fonction, ses principaux enjeux, et la façon dont ils s’articulent avec les autres fonctions au sein de process opérationnels ou de projets

      On sait quand l’influence des experts  est devenue excessive  dans une entreprise : les différents services fonctionnent en “silos” qui ne communiquent plus entre eux… aux dépends du client final.

      La recherche d’excellence dans une fonction doit toujours être proportionnée aux enjeux et au contexte, et se soucier de son intégration dans le processus plus global de l’entreprise. 

      Quand on met en place un système informatique pour piloter l’ensemble des processus dans une entreprise, on commence par interviewer toutes les fonctions impactées. 

      Si à la question “ avez-vous des problèmes avec les autres fonctions ?” ,  la réponse est systématiquement “ non aucun”… c’est que les divers départements ont cessé de discuter entre eux ! 

      Car l’entreprise est le lieu de l’arbitrage entre des intérêts contraires. Il faut sans cesse arbitrer le niveau des stocks, des salaires, des  investissements, de la recherche, de la communication… entre les actionnaires, les dirigeants, les commerciaux, les producteurs, les clients, les fournisseurs, les collectivités diverses….

      Il est donc primordial de comprendre les enjeux et les contraintes de chaque fonction pour arriver à faire coopérer tous les acteurs et répondre à l’attente des clients.

      Retour en haut

      ORGANISATION ET GLOBALISATION

      Deux compétences majeures apparaissent avec la spécialisation des tâches et la nécessaire coopération qu’elle implique : la faculté de bien communiquer et la capacité de travailler en équipe…

      Ce sont là deux compétences de base sans lesquelles il est difficile d’envisager de travailler dans un monde globalisé. 

      Deux questions importantes sont apparues avec la globalisation

      • la communication interculturelle : car la culture introduit un obstacle supplémentaire  à la façon de communiquer ou de travailler en équipe. Il existe des clefs pour arriver à comprendre les filtres culturels qui s’insinuent dans les relations commerciales, managériales ou organisationnelles
      • L’approche systémique de la stratégie en général et de sa mise en oeuvre. Le monde VUCA ( Volatility, Uncertainty, Complexity, Ambiguity) dans lequel nous sommes plongés requiert des capacités d’analyse et de synthèse pour lesquelles nous ne sommes généralement pas outillés. L’approche systémique ouvre certaines opportunités pour reprendre le contrôle d’une situation souvent en rupture avec nos schémas de pensée académiques.

      Mettre en place une culture d’amélioration continue suppose plusieurs attitudes. En voici par exemple quelques-unes :

      • respecter des standards ( ou proposer consensuellement leur amélioration)
      • rendre les écarts (problèmes) visibles  ( ne pas cacher la poussière sous le tapis) 
      • prendre les dispositions pour qu’ils ne s’étendent pas ( prendre ses responsabilités et appropriation collective des problèmes)
      • Éradiquer les problèmes à l’origine des écarts ( savoir résoudre des problèmes)

      On comprendra que les problèmes de personnalité ou de culture vont fortement impacter plusieurs de ces attitudes : ne pas perdre (ou faire perdre) la face, le droit à l’erreur, le rôle du chef, la relation à la vérité, au temps… 

      D’où l’importance, à l’international, de savoir 

      • cartographier les fossés entre une culture d’entreprise et la culture des parties prenantes…
      • Mettre en place des passerelles pour ne pas se laisser arrêter par les fossés… 

      Principes d’Organisation

      Une organisation pour survivre ne peut se permettre de rester figée. Elle doit en permanence s’adapter à son environnement (sociétal, culturel, politique, commercial, technologique…) et parfois même aux personnalités qui la composent. Chaque étape d’adaptation et chaque nouvel équilibre répond à quelques principes fondamentaux.

      Le LEAN

      Ressources liées

      Une méthode de travail qui a deux vertus :
      • Une amélioration perpétuelle de l’efficacité ( coût, qualité, délais…) et de l’efficience ( avec un minimum de ressources)
      • Un développement de l’autonomie des individus, de leur responsabilisation et de leur faculté de coopérer.
      Le LEAN met en évidence un principe que l’on a tendance à oublier, à chaque organisation correspond un état d’esprit. Les outils sans la culture peuvent devenir un enfermement ( outil de contrôle et de normalisation), et la culture sans les outils peut être contre-productive.

      communication/globalisation

      A moins de confier tout le travail aux machines et à l’Intelligence Artificielle, l’entreprise et toute organisation est d’abord une affaire de relations entre des êtres humains.
      Bien communiquer est parfois un don mais cela peut être un art qui s’acquiert au travers de quelques techniques et de l’intelligence du processus à l’œuvre.
      Quand à la difficulté de se comprendre entre deux individus s’ajoute le filtre culturel (une autre perception du monde) cela n’est plus un art mais devient souvent un casse-tête.
      Comprendre ce qui se passe dans la tête de l’autre et dans sa propre tête est une nécessité pour surmonter toutes les barrières à la communication et rendre la coopération efficace.

      approche systÉmique

      On est parfois surpris des conséquences inattendues de certaines décisions prises et de leur exécution. « Ben ça alors, si j’avais imaginé que… !  »,  « si j’avais su j’aurais (pas) pris la peine de… »
      Déceptions ou heureuses surprises résultent souvent d’une mauvaise analyse du contexte, d’une mauvaise définition des objectifs, d’un défaut de prise en compte de la réaction de nos interlocuteurs, d’une sous-estimations des difficultés de l’exécution et de sa préparation, etc.
      Mais comment aborder une situation en intégrant tous les paramètres et leurs interactions dans le temps ?
      C’est l’objet de l’approche systémique.
      Retour en haut

      PENSER « HORS DU CADRE « 

      Il n’est pas possible, ni peut-être souhaitable, de tout modéliser, de tout rationaliser…

      En revanche, de même que “un petit schéma vaut mieux qu’un long discours” (Napoléon), on peut observer qu’une anecdote, une parabole, une fable ou un conte offrent une certaine représentation du monde qui, faute d’être un enseignement dogmatique, nous invite néanmoins à réfléchir à notre propre regard sur le monde.  

      Tirés généralement d’expériences personnelles, de rencontres, de lectures ou de débats, les éléments de réflexion de cette catégorie viennent enrichir ou parfois nuancer les pépites de savoir exposées jusqu’ici.

      Elles sont par essence inclassables.

      Quatre  modèles de société

      Ressources liées

      Il n’existe pas qu’un modèle social sur terre.

      Il n’existe pas qu’un seul modèle économique de production et de répartition des richesses.

      Il n’existe pas qu’un modèle politique.

      Le “modèle occidental” ne concerne qu’un peu plus d’un milliard d’individus sur sept milliards, même s’il en impacte beaucoup plus. l’Occident le découvre avec la crise ukrainienne. 

      Mais surtout, il n’existe pas un modèle de Société qui ait résisté à l’usure du temps ou à la confrontation avec d’autres modèles. Il n’y en a pas un qui, passé une certaine échelle, ne se soit effondré. 

      Quels sont les mystérieux gènes, fortement pathogènes, qui semblent  intégrés dans l’ADN de toutes les sociétés pour en  provoquer irrémédiablement l’effondrement ?

      On peut repérer au moins 4 gènes prédateurs qui conduisent à l’effondrement d’une Société

      • le monopole
      • la fossilisation
      • le plafond de verre
      • le déni de réalité

      Parmi les symptômes on trouve la corruption, l’injustice, le mensonge… 

      L’économie-politique et la monnaie

      La crise financière de 2008-2009 fut une de ces émergences épisodiques des dysfonctionnements de nos organisations sociales, économiques, politiques et financières. 

      Contrairement aux crises précédentes, elle révélait clairement les mécanismes et les engrenages inexorables qui avaient conduit à cette situation absurde. Nous avions surtout les connaissances historiques et les données  permettant de décrypter en temps réel les évènements : l’effet mécanique lié à l’argent, l’effet lié aux acteurs et intermédiaires, les catalyseurs qui alimentaient la machine à fabriquer des crises.

      Les pseudo sciences économique et financière auraient dû être “remises à leur place” à l’occasion de cette crise et l’économie-politique aurait dû retrouver ses lettres de noblesse et l’autorité qui lui revient. 

      Il n’en fut rien. Et au lieu de rétablir les fondamentaux, les financiers nous ont conduit par politiciens interposés dans une course folle, à tombeau ouvert, jusqu’à l’émergence d’une nouvelle crise cette fois politique, financière et militaire.

      La monnaie joue un rôle majeur dans toute cette alchimie destructrice.

      Invention géniale qui permet d’accélérer l’enrichissement collectif mais aussi de provoquer les cataclysmes les plus effroyables.

      Un simple outil que chaque individu devrait connaître, apprendre à manier avec prudence et modération, et dans le sens du bien commun.

      Le jeu du Monopoly, qui  apparut lors de la crise de 1929, était une excellente métaphore de ce qui était en train de se dérouler sous les yeux médusés des Américains.

      Ce jeu trouverait en fait sa source, au début des années 1900, dans l’invention d’une fermière Quacker qui aurait voulu dénoncerla dangerosité de l’argent.

      Écrit en 2009, “L’énigme de la clairière” est un petit conte économico-politique qui a pour objectif de faire accéder progressivement le lecteur à la compréhension de la monnaie et à l’observation de la façon dont l’argent finit par imposer ses propres règles du jeu à une société jusqu’à la destruction de celle-ci. Mais il existe des solutions et l’issue fatale n’est pas inexorable…

      Histoires d’entreprises

      Rien de tel pour comprendre le succès des entreprises que de les écouter raconter leur histoire, le témoignage de la vie des gens qui les ont construites puis gérées, les anecdotes qui ont marqué leur mémoire et ont souvent servi de fondation à leur culture et à leurs valeurs. 

      Elles racontent un savoir-faire qui ne s’apprend pas dans les écoles mais au contact des entrepreneurs, des capitaines d’industrie, des fondateurs d’associations…

      Des hommes qui ont révolutionné  tout un pan de l’économie ou simplement la vie de leurs employés, de leur collectivité, de leurs prochains.

       

      De même que l’enseignement de l’Histoire est un enjeu majeur pour la survie des civilisations, l’histoire des entreprises devrait être une discipline en soi enseignée au moins dans les écoles de commerce et les écoles d’ingénieurs. Ces anecdotes seraient l’occasion de donner une autre vision de l’entreprise que celle fournie par un bilan, par le cours de l’action ou l’enrichissement des inventeurs.  

      Une civilisation se maintient au travers d’une culture qui choisit ses héros et leur moralité. 

      Pourquoi n’en serait-il pas de même dans le monde de l’entreprise… ?

      ÉlÉments d’histoire

      Ressources liées

      Ceux qui ignorent l’Histoire sont condamnés à la revivre…
      Autant il est dangereux de conduire en ne regardant que dans le rétroviseur ( le Reporting), autant ignorer les enseignements du passé revient à se priver des acquis de l’expérience.
      A l’échelle dune entreprise, d’un pays ou d’une multinationale l’Histoire n’est plus de la culture générale, mais un outil de travail.

      ÉlÉments de psychologie

      Ressources liées

      Retour en haut

      Consultez notre actualité

      Quand le site sera-t-il totalement opérationnel ?

      Quand le site sera-t-il totalement opérationnel ?

      Le site sera rendu opérationnel en trois étapes : Étape 1 : Juillet 2023 = V0 mise en ligne L’architecture du site, sa navigation, ses fonctionnalités seront disponibles et mises en ligne.   Étape 2 : Juillet-Novembre 2023 = début du fonctionnement Les contenus...

      Lire la suite
      Quel genre de « NEWS LETTER » sur le site ?

      Quel genre de « NEWS LETTER » sur le site ?

      Il est toujours difficile de commencer une « NEWS LETTER », mais ceux qui en ont l’expérience savent qu’il est encore plus difficile de la continuer à échéances régulières. Je définirai donc comme suit les critères pour publier une NEWS LETTER : Identifiant :...

      Lire la suite